Le cours des actions, plus que tout autre chose, dépend de la façon dont une entreprise exerce ses activités. Est-ce qu’il fait des profits, grandit, grandit ? Pour tenter de devenir plus grandes, les entreprises sont toujours à la recherche de fusions et d’acquisitions rentables. Ces transactions impliquent beaucoup d’argent et de risques, car les bénéfices futurs ne justifient parfois pas le prix payé pour de telles transactions.
Chaque type d’achat et de vente implique plusieurs facteurs qui entrent dans le prix, en particulier des contrats dépassant des millions de dollars. Les actifs corporels (tels que les terrains, les bâtiments, les machines, etc.) ont une étiquette de prix. Il en va de même pour la plupart des actifs incorporels identifiables (tels que les licences, les brevets, etc.).
L’écart d’acquisition défini
Ainsi, l’écart d’acquisition peut être défini comme la prime payée en sus de la valeur comptable des actifs lors de l’acquisition d’une entreprise par une autre. Si la société achetée a un nom de marque solide, une fidélité de la clientèle et une bonne réputation, la valeur de l’écart d’acquisition payée sera élevée.
Voici une vidéo expliquant ces faits :
https://www.youtube.com/watch?v=nwbR54Zfpj0
L’écart d’acquisition ne peut être vendu ou acheté indépendamment de la société, et sa valeur est associée aux performances de la société et aux événements du marché, ce qui oriente la confiance des investisseurs tout en guidant l’évaluation du cours des actions. Une entreprise très achalandée a tendance à attirer les investisseurs car elle leur fait croire qu’elle est capable de générer des bénéfices plus élevés à l’avenir.
Le résultat final
Les réactions des investisseurs diffèrent à chaque situation. Le mouvement des cours des actions et la bonne volonté ne peuvent être lié. Cependant, l’annonce d’une acquisition en général, signifiant le développement d’une entreprise, favorise la croissance des cours des actions.
La «réaction visible» des investisseurs à de telles annonces est généralement de courte durée et leur «impact réel» est perçu sur une période donnée. Dans l’ensemble, il est préférable de conclure que les investisseurs ont tendance à regarder les sociétés au-delà du «facteur d’acquisition» et à se concentrer sur les flux de trésorerie, la génération de revenus et les dividendes.